Itinéraire
De l'extrémité nord du parking de Pipay, prendre la piste en direction du nord et chemine entre 1550 et 1420m. Après environ 5km, à un croisement de piste, prendre celle qui monte vers le NE. La suivre jusqu'a une épingle. Dans celle-ci prendre le sentier assez large au départ, qui monte en direction du SE, puis cheminer vers l'E dans la forêt. A l'orée, remonter plus Sud, dans une pente plus soutenue pour atteindre le lac Leatel, puis toujours au Sud, le lac situé sous "Le Cul de Pet". Passer à l'Est du lac pour rejoindre la crête et vers le S, le sommet noté 1859m. Suivre la crête vallonnée jusqu'au col du Merdaret. Suivre ensuite approximativement les pistes de ski de fond en direction SSW, pour atteindre la Butte de Pipay. La suivre vers l'W pour descendre dans le sous-bois le sentier qui retourne au parking.
Conditions
Au dessus de la grisaille de la vallée, nous avons eu du ciel bleu toute la journée. Température très fraîche au départ, -7°C au parking. Puis beau soleil et très légère brise en arrivant au lac du cul de pêt.
Neige très légère dans les versants nord ou les replats peu sensibles aux rayons tangents du soleil, un peu plus humide sur les versants ensoleillés.
Neige très légère dans les versants nord ou les replats peu sensibles aux rayons tangents du soleil, un peu plus humide sur les versants ensoleillés.
Date de la sortie
Mardi 22 janvier 2019
Dénivelée (m)
450
Difficultés
Encadrant(s)
Participants
Anne-Marie, Catherine, Dominique.
Sur la piste un peu longue et froide, avec la forêt à droite, et la grisaille de la vallée à gauche, nous avons choisi de la pratiquer à pied dans les traces d'un quad. Après la première bifurcation, cela devient plus sauvage. A l'attaque du sentier, nous devons faire la trace. Il faut slalomer entre les arbres assez espacés pour réduire la pente. Dans la clairière, la pente s'accentue par endroits et la neige un peu fine gêne la progression par glissade, mais le paysage est très sauvage et l'on aperçoit nombres de traces d'animaux. Il devient magnifique lorsqu'on atteint le premier lac, puis féérique au second où surgissent les rayons du soleil et toujours dans une fine neige poudreuse. Après avoir atteint le sommet, nous retrouvons la civilisation et les autoroutes de raquettistes qui viennent de la station. Ils ne savent pas ce qu'ils ratent quelques mètres plus bas. Tant mieux pour nous.