Après un petit déjeuner au refuge du Chardonnet nous descendons vers 9h dans le foret pour rejoindre le chemin venant de Nevache, surprise bonne neige dans les bois, vieille poudre très skiante, youpii.

La journée démarre bien avec très peu de vent et grand beau. Nous remontons le chemin forestier vers le refuge Ricou d’où on a une vue magnifique sur le Queyrelin.

Bof pas beaucoup de neige eu dessus de Ricou, nous remontons un peu un torrent enneigé var les pentes sont quasi sèche, nous retrouvons rapidement de la neige et d’un pas gaillard nous traversons les lacs pour le plaisir, ils sont bien gelés je vous rassure. Nous remontons une enfilade de corridors très sympathique pour débouché sous le col et remontons la pente raide vers lePpas du pic.

A ce Pas une superbe vue sur l’Italie et le lac blanc au fond d’une sorte de ½ cratére.

L’équipe marche bien et bien content de ce point de vue, de là on traverse la crête en peaux jusqu’au sommet du Pic du lac blanc avec un petit portage sur les rochers. De l’autre coté c’est la misère, nous descendons en peaux pour certain et a pied pour d’autre en contournant les rochers non recouverts.

100 mètres plus bas nous pouvons descendre prudemment en trouvant des zones skiante, mais la descente sur le refuge fut acrobatique avec le très peu de neige. Un beau voyage malgré le déficit de neige.

Ouf nous voilà dans le très confortable de Laval avec ces chambres grand luxe.

Douche et une succession de bières avec là aussi des planches de charcuterie et du fromage d’un autre monde que nous sort le gardien. Un diner copieux mais sans plus avec du vin Tor boyau, que nous refusons contre une bouteille de meilleurs crus. Fini de diner vers 8h on tu le temps en ce racontent des blagues salas que les gens du sud aiment bien, les pauvres Grenoblois !

Allez dodo demain une autre belle boucle nous attend.